Jour du Macaron

Le jour du macaron, c’est demain vendredi 20 mars !
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Pour les petits et les grands gourmands, c’est l’occasion de faire une bonne action !
Les boutiques Pierre Hermé et les pâtisseries Relais Desserts se mobilisent pour Vaincre la Mucoviscidose !
Le principe est simple : « Un don, un macaron ». Les pâtissiers offrent un macaron en échange d’un petit don à l’association.
À cette occasion, les grands noms de la pâtisserie ont créé des macarons inédits en édition limitée, par exemple la Maison Dalloyau a préparé un macaron citron vert – combava aux tonalités vertes, la même couleur que le logo de l’association. (Et pour ceux qui se demandent comme moi ce qu’est le combava, ça ressemble à un citron vert tout rond, et ça nous vient d’Indonésie.)
Cette année, pour fêter les 10 ans du Jour du macaron, Pierre Hermé et les membres Relais Desserts se sont lancé le défi de collecter 100 000 euros pour Vaincre la Mucoviscidose ! (L’année dernière, 50 000 euros avaient été remis à l’association)
Alors, pour les aider à relever ce challenge, faites circuler l’information autour de vous, et rendez-vous dans les pâtisseries Relais Desserts pour fêter le printemps, les gourmands, et la solidarité. Votre don va permettre à l’association de financer ses missions prioritaires (guérir, soigner, vivre mieux, informer et sensibiliser) et se rapprocher de l’objectif ultime : vaincre la mucoviscidose ! Merci pour votre soutien, et régalez-vous !
Rayons de sourire,
Jessica

Mélanie – 5 mai 2001
Les filles s’affairaient à mettre un bol devant chaque convive. Jeanne se leva pour nous expliquer le principe du dîner.
— Vous vous doutez bien que ce n’est pas un hasard si nous sommes dix-neuf autour de cette table, c’est-à-dire dix-huit invités et moi. Aujourd’hui, j’ai dix-huit ans, et mes sœurs sont en train de distribuer un plat à chacun. Elles ont préparé dix-huit entrées, normalement c’est tout ce que j’aime ! Je vais vous laisser vous servir du plat qui est devant vous, et à mon signal, vous le passerez à votre voisin de gauche. Attention, il faut qu’on passe les plats tous en même temps ! Et on pourra commencer à manger seulement une fois que les dix-huit plats auront tourné !
— Comme c’est original ! Elle est toujours comme ça, ta copine, non ? me glissa Alex.
Je ne pus qu’acquiescer. J’étais estomaquée !
Jeanne s’était rassise et lança à la volée : « Vous êtes prêts ? » et on répondit tous en chœur. Trente secondes plus tard, elle appuya sur le buzzer, le signal pour faire tourner les plats. Comme elle avait sa main droite prise avec le buzzer, et sa main gauche invalide le temps de la perf, c’était Paul qui remplissait son assiette. Ce drôle de jeu permettait de faire plus ample connaissance avec ses voisins. Je remarquai qu’Alex et Sébastien plaisantaient bien. Il y eut des cris quand les passages de bols avaient cafouillé. Laurent se retrouvait sans bol alors que Pascal en avait deux ! A cause d’un mauvais calcul, la vinaigrette s’était retrouvée avant la salade. Jeanne s’amusait à raccourcir le temps du service en fonction de ses goûts. Curieusement, Paul avait bien eu le temps de lui servir trois fois du saumon fumé ou des crevettes, mais quasiment pas pour les radis ! On se marrait comme des petits fous. J’adhérais totalement au concept. A tel point que je fus un peu déçue lorsqu’on arrêta de faire tourner les plats pour entamer la dégustation. Jeanne me rassura : on allait recommencer pour le dessert !
— Tu as trouvé dix-huit desserts ? m’écriai-je.
Pour quelqu’un qui n’était pas très « sucré », c’était une surprise ! Lorsqu’arrivèrent les dix-huit bols du dessert, je pouffai de rire. Du pain d’épices, des nonnettes, des barquettes à la fraise, des petits roulés, des pailles d’or, des framboises, de la glace au pain d’épices… Je revivais à travers toutes ces douceurs tous les goûters que j’avais partagés avec Jeanne.

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