Vacances sous Doxy

L’heure des vacances d’été a sonné !


Le programme de la semaine a été un peu bousculé ces dernières 48 heures. Tout d’abord parce que j’ai subitement perdu ma voix (je me suis refroidie en dormant la fenêtre ouverte), et au réveil j’ai dû expectorer un crachat moche. En fin d’après-midi je ne me sentais pas très bien, et je me suis rendu compte que j’avais de la fièvre. Heureusement, le Doliprane a fait rapidement effet, néanmoins une alarme s’est mise à clignoter dans mon cerveau. Pour me rassurer, j’ai fait un auto-test covid (négatif), et je suis vite allée me coucher.
Ce matin j’ai à nouveau sorti plusieurs crachats moches. J’ai prévenu le CRCM au plus vite, ils m’ont confirmé que je devais commencer une cure d’antibiotiques sans attendre que mon état dégénère (sans oublier un ovule pour pallier les effets secondaires habituels).
Dans la foulée j’ai contacté ma pharmacie pour m’assurer de leur stock de Doxy, et j’ai fait un détour avant d’aller à la gare. La pharmacienne m’a fait une petite frayeur car j’ai trouvé le rideau baissé en arrivant devant l’officine. Le temps que je réfléchisse à mes options pour me fournir dans une autre pharmacie, elle est revenue de sa course. Ouf ! Par contre, au moment d’encaisser, elle ne voyait plus le 100% sur ma carte vitale. Même s’il est vrai qu’il faut le renouveler régulièrement, je n’avais pas en tête la date de fin de mes droits. Mais la chance était avec moi, il est revenu tout seul après une mise à jour de ma carte vitale.
J’ai trouvé une petite place dans ma valise pour mes médicaments additionnels, et je me suis mise en route pour la gare. Là encore, un léger contretemps m’attendait : défaillance de matériel sur notre rame. À l’heure où le train aurait dû partir, on nous a annoncé qu’on allait devoir changer de train (et, au passage, traverser une gare bondée de vacanciers). Au moment où je me suis levée de ma place, une grand-mère s’est effondrée sur moi car elle n’avait pas vu la marche, et ensuite elle n’arrivait plus à se relever. Plus de peur que de mal au final.
Moi qui étais contente d’avoir trouvé une place facile d’accès dans le coffre à bagages dans le premier train, j’ai dû mobiliser mes biceps (mon point faible en renforcement musculaire !) pour installer ma valise en hauteur dans le deuxième train. Après toutes ces péripéties, la sieste a été bien méritée !
J’estime avoir eu ma dose de péripéties pour les vacances, maintenant je croise les doigts pour que le traitement antibio me remette d’aplomb rapidement, et que je puisse profiter de la pause estivale en famille !

Rayons de sourire,
Jessica

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